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Les Pieds dans le sable, les yeux dans l'eau... 
 
 
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première page de la nouvelle

Titre: "La Cabanne dans l'Arbre: De la réalitée au rêve, à la folie..." 
 
 
-A l'âge de vingt quatre ans, las de toujours rêver sans jamais voir un rêve qui se concrétisait; 
je partit pour de bon avec mes illusions... 
Dans un lagon de paradis bordé de plages dorées, ou un soleil d'été semblait se reflêter; je nageais insouciant porté par le courant. 
J'habitais une cabanne faite de branches de palmier, 
tout en haut d'un grand arbre au bord de la forêt.Les journées étaient vraiment agréables pour une âme solitaire comme la mienne. 
Dès l'aurore, la ceuillette des fruits commençait puis je relevais les filets de pêche de la veille, confectionnés avec soin en lianes et en fibres végétales.Le reste de la journée était placé sous le signe du repos, de la méditation, du sport ou du bronzage. 
 
-De temps à autre, quelque gibier imprudent tonbait dans un des pièges que j'avais creusé aux abords de la cabane. 
Les seuls moments difficiles étaient la maladie, la faim occasionelle et les intempéries. 
En effet la tempête certains soirs, faisait rage et manquait d'emporter mon toit dans les cieux obscurs, zébrés d'éclairs menacants. 
Un matin ordinaire ors que je fôllatrais, le plus grand de mes rêves vint se réaliser.Sur le bord de la plage semblant inanimée, gisait une belle jeune fille aux allures de poupée... 
 
-Ses longs cheveux blonds semblaient ruisseler tels des rivières d'or, le long de ses pommettes rosées.Je décidais alors de l'enmmener au refuge puis je fit un grand feu au pied de l'arbre pour secher ses vêtements. 
J'entrouvris ensuite ses deux lèvres sensuelles et galbées, pour y déverser de l'eau, non sans un certain gêne et une certaine émotion. 
J'avais toujours eut et ce, dès ma plus tendre enfance un penchant irrévocable et grandissant pour les "Lolitas", que je préfère nommer "Nymphes".J'ai toujours gardé un coeur et une âme d'enfant et il n'y a que les jeunes filles qui font battre mon coeur.De leur sourire d'enfant et leur grand yeux brillants, à ,leur rougeur parfois devant les mots des grands. 
Leurs petites voix si douces, leur spontanéitée,leurs petites mains de rêve et leur peau de bébé... 
Leur gentillesse naturelle, leur simplicité, leurs envies de bonheur et de toujours rêver.Pour moi à tout jamais ce seraient des poupées, porcelaines fragiles sauveuses d'humanitée. 
De petit anges au regard si doux, prêchant l'innocence,la foie, l'indulgence et l'amour... 
Sur une terre arride peuplée de milliard de consommateurs cupides qui avides d'argent et de pouvoir s'adonnent aux pires larçins sans foie ni loi ni une once de pitiée! 
 
-Quel bel exemple sommes nous pour nos petits enfants, et quel genre d'être est t'on pour troquer notre absence contre de beaux cadeaux. 
Si j'avais dût parler à tous mes proches, amis et parents de mes sentiments envers les "lolitas"; 
Ils m'auraient sans jugement et sans la moindre compassion, collés de vilains mots tel que: "pervers, maniaque, pedophile"...etc ou je ne sais quel mot horrible et diabolisant. 
Ce qu'ils n'auraient pas compris ou pas voulut comprendre c'est que je n'avais que des sentiments purs, d'amour paternel.Jamais une seule seconde je n'aurais osé penser à toucher un de ces anges d'innocence... 
J'étais juste un enfant qui voit l'amour avec des yeux d'enfant, un rêveur échappé perdut dans le néant d'illusion de beautée et de beaux sentiments.Quel mal peut on me répondre, il y a t'il à voir le monde avec un coeur d'enfant? 
De se complaire à trouver ces frimousses adorables et de se perdre dans l'océan de ces petits yeux pétillants, emplis de malice, de rêve et de compassion. 
 
-Si l'on me juge un jour pour ces beaux sentiments, je demmande la clémence du jurry car je ne suis qu'un enfant fragile, qui vit dans un monde imaginaire et parfait. 
Un monde qu'il s'est créer un jour pour y trouver refuge, et échapper à la réalitée dure et cruel 
d'une terre peuplée de milliard d'hommes de néhendertal cherchant à se dominer les uns les autres.Désireux de posseder toujours plus et créant des animaux clonés dans le but de la science, l'homme jouerais t'il à Dieu? 
Et moi je ne suis coupable que d'aimer en songe de jeunes "Nymphes", ce qui ne fait que traduire un désir d'amour paternel à cent pour cent pur et sain! 
Je désirais tout simplement les couvrirent de cadeaux, de bonbons sans raison par affection.Et surtout leur donner cette présence et cette attention, qu'elles réclament tant; comme l'eu fait un bon père.Je ne voulais que ça! être un ami, et leur apprendre à éviter les pièges de la vie. 
Quel mal y à t'il à vouloir rendre le monde plus agréable pour les enfants et à rêver innocement que l'on est sois même resté ou redevenu un enfant? 
J'entend d'ici les comparaisons douteuses avec "Mickael Jackson" ou d'autres personnalitées détraquée des médias.Les gens sont tellement prévisibles et tel des moutons de panurge bêlent à l'unisson sous les coup du bâton et les grognements des chiens.Cette image aurait surement plut à Mr "Lafontaine" s'il avait put l'entendre! 
 
-Dans le cas présent messieur les jurés, c'est tout les parents aimant leurs enfants qu'il faudrait juger. 
Celui qui arrive à me dire qu'il ne trouves pas une nymphe ou une lolita comme alizée jolie, ou le bleu ou le vert de ses yeux envoutant.Ne serait qu'un  
menteur, un hommo refoulé ou un pervers frustré qui cache ses sentiments. 
Ou peut être une méchante personne, qui n'aime pas les enfants.Il y a aussi ces mégères de quarante ans et plus, aigries et solitaires, jalouses comme des vipères de ne pas être aussi désirables qu'elle ne le furent jamais ou qu'elles étaient jadis avant de vieillir ou de rater leur vie... 
 
Mais je m'écarte du sujet, je ne souhaite que leur bien et leur bonheur et les pouvoir regarder, en tout bien tout honneur; écouter leurs fous-rires et les voir me sourire tendrement. 
 
-Enfin laissons celà et revenons tantôt à notre histoire. 
J'insufflais par dépit de l'air dans ses poumons, me sentant envahit d'un sentiment de panique et d'impuissance, devant le corps sans vie de ma sirène aux cheveux d'or étincelants. 
Au bout de trois longue minutes qui me parurent une éternitée, ma petite "Lo" d'amour se mit à tressauter.Elle était prise de petites convulsions et de l'eau s'échappait de façon saccadée de ses lèvres de fée. 
Elle ouvrit alors ses yeux, encore troubles et en me voyant penché sur elle eut un mouvement de peur et de surprise.Lola recula vivement de quelques mètre sur le sable, mais ses bras encore faibles et tremblants ne purent la soutenir.Elle s'évanouit ou s'endormit je ne saurais le dire avec exactitude, ayant peu de connaissances en la matière! 
 
-Je l'avais recouchée près du feu, ses vêtements 
presques secs ne lui collait plus à la peau.Une bonne couverture en fibre de palmier recouvrait ce jolie petit être partit au pays de Morphé... 
De temps à autre je lui passait de l'eau fraiche sur le visage en lui touchant le front pour surveiller la fièvre. 
Je m'assurais régulièrement qu'elle respirait sans difficultée, sa gorge sifflait et son ventre semblant se prendre pour une machine à laver, émettait de sombres gargouillements.Parfois elle remuait violamment comme si elle dût combattre quelque méchante sorcière ou horrible dragon. 
 
-Vèrs le début de l'après-midi alors que je taillais des pics de bois pour prendre du poisson, 
une voix érrayée qui paraissait lointaine balbutia quelques mots derrière moi! 
"Pa..papa, Maman ou sont...le..le bâteau, ou suis-je?". 
Je me retournais lentement tâchant avec grand soin et tact de ne pas effrayer la jeune fille.Je regardais ses grands yeux perdus, puis luttant contres les sensibles accélérations de mon coeur je m'efforçais de répondre: 
"Bonjour jeune fille comment te sent tu? 
Peut tu me dire ton nom et qui sont tes parents?" 
Elle bredouilla: 
"Bonjour monsieur je m'appelle Morgane et je faisait du bateau avec mes parents nous avons coulés sous l'eau avec toute les affaires..et j'ai crier, j'ai nager mais mes parents avaient disparuts..." 
Les mots et les pensées de morgane semélangeaient 
et elle ne parvenait plus à s'exprimer, la gorge nouée et les yeux en pleurs elle se tourmentait envahit par la peur revivant dans son esprit cet affreux souvenir si récent.. 

 

(c) Norbert Chalandon - Créé à l'aide de Populus.
Modifié en dernier lieu le 25.06.2004
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