Bonne lecture: La ferme du Vieux Mac Donald..
-Frelatant le matin,déambulant le soir,aux croisements de trois chemins,j'apperçus dans le noir...
-Une forme fantômatique,d'ou semblait parvenir une musique diabolique;
-Arrivant de plus près sur un grand mur de pierres
il y avait une porte avec une inscription;
-Estranger,estrangère:"au delà de cette porte se trouves celle de l'enfer;
-Bien qu'un frisson glaçial me parcourut corps et âme;
-Je dis d'une voix cinglante:"Allons,hardi,allons voir cette engeance,que m'inporte de mourrir vite, l'autre choix est mort lente...
-Car à la véritée,il faut le faire savoir,si l'homme trépasse un soir flétrit sans entourage;
-Je préfère mourrir jeune emportant mon courage...
-Une fois dans cette ferme,éblouit de six cent chandelles;
-Mes yeux au désespoir crûrent bien appercevoir;
une centaine de bonhommes et autant de couloirs!
-
La musique démoniaque semblait sortir de chaque murs tiroirs ou sacs;
-Et déchirait la nuit à tel point que mon sang se figea.
-Il y avait des barbares sanguinaires auprès de lucifer;
-Il y avait des squelettes,fantômes et autres bêtes;
-Qui menaient une lutte au bon vouloir de belzébuth.
-Il y avait des pirates morts depuis bien longue dâte;
-L'histoire les dits pendus,les voilà devant moi!
-Il y avait méphisto qui le vice dans la peau,envoya fort belles femmes,s'accaparer mon âme
-Mais je ne fus pas dûpe,repoussant les premières,j'arrachais deux,trois jupes pour cingler les dernières.
-Tous les tricheurs de cartes,voleurs,escrocs,menteurs et assassins;
-Se tenaient par la main,et tous assis à gauche
entonnaient des refrains et des chansons à boire...
-Et je croisais enfin une bien ancienne conquête
une fort jolie donzelle et qui bien trop côquette;
-Se disait la plus sage jeune vierge du pays,
or qu'elle se fit connaitre même jusqu'aux maris..
-Il y avait des soldats et mon propriétaire,
sans parler des notaires des nobles et des comptables.
-Je vit bien des gens d'armes et puis des gens de loi que commandait cèrbère et puis notre bon roi...
-Alors que je me relevais,tout avait disparut;
ce ne fut pas ma demeure ou l'heure n'est pas venue...
par:mephisto_septembre2002